« Une recension sous
forme de commentaires diffus du célèbre essai La Société du Spectacle de
l’auteur situationniste Guy Debord.
« Je suis profondément convaincu que le vrai fascisme est ce que les
sociologues ont trop gentiment nommé « la société de consommation », définition
qui paraît inoffensive et purement indicative. Il n’en est rien. Si l’on
observe bien la réalité, et surtout si l’on sait lire dans les objets, le
paysage, l’urbanisme et surtout les hommes, on voit que les résultats de cette
insouciante société de consommation sont eux-mêmes les résultats d’une
dictature, d’un fascisme pur et simple. » (Pier Paolo Pasolini, Écrits corsaires.)
Nous reprenons, en ce début d’année 2015 inquiétante, l’essentiel d’une
recension qui tente de replacer La Société du Spectacle dans le contexte
de la crise actuelle du système et de ses modes de représentation. Essai
prophétique, cette œuvre maîtresse de feu Guy Débord nous force à prendre
conscience des limites de la critique politique, à l’ère du numérique et de ses
multiples facéties. Et, si le simulacre faisait, désormais, partie de nos modes
de représentation, dans un contexte où la « rectitude politique » aura pris la
place de l’éthique ou « science morale », au sens où l’entendaient les anciens
grecs?
[….]
La suite ci-dessous :http://www.dedefensa.org/article-tout_sera_consomm__22_02_2015.html
Jean Vinatier
SERIATIM
2015
1 commentaire:
Bien le bonsoir du Québec,
Cher animateur de ce BLog, merci de citer mes articles et de contribuer, chemin faisant, à rendre justice à mon labeur ardu.
Toutefois, je vous invite à effectuer une correction capitale à l'article suivant:
lundi 23 février 2015
« Tout sera consommé par Pierre-Hans Perrier » N°3064 9e année
Je me NOMME Patrice-Hans Perrier. Je crois que l'erreur vient du fait que le site Dedefensa avait publié « Pierre-Hans Perrier », avant d'effectuer les corrections d'usage à mon nom.
Alors, je suis, bel et bien, PATRICE-HANS PERRIER. Pas d'erreur sur la personne ;-)
Merci pour tout et continuez votre excellent travail !
Patrice-Hans Perrier
Montréal, un 17 novembre 2015
Enregistrer un commentaire