« Il y a quelques années », écrit
Celia Mascré pour FranceTVInfo, « la presse occidentale titrait allègrement sur
la fin de la croissance russe : La fin des Russes (The Wall Street Journal), Le
suicide démographique de la Russie (The Economist), Russie : de l’espace mais
pas d’habitants (Die Welt)... Dès les années 2000, les experts de l'ONU
prévoyaient que la Russie n’atteindrait pas 130 millions d’habitants en 2015 » (1).
Et de présenter un graphique (voir la première infographie) de ce que les
démographes appelaient la « Croix russe » montrant comment, entre 1990 et 1992,
lors de l’explosion de l’URSS (1991), les courbes des naissances et des décès
se croisaient, au bénéfice des décès.
Or, ajoute-telle, « au 1er avril, elle s'établit à 146,3 millions. Ajoutez
2,4 millions en comptant la Crimée. Aujourd'hui, le taux de fécondité
russe de 1,7 enfant par femme est plus élevé que la moyenne de l’Union
européenne. Et cela grâce à un vaste programme gouvernemental pour la
croissance ».
[….]
La suite ci-dessous :
Jean Vinatier
Seriatim2015
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