« Le coup d’Etat silencieux de Lisbonne par
Jacques Jacques » :
« Le Portugal a été la
victime ces derniers jours d’un coup d’Etat silencieux organisé par des
dirigeants pro-Européens de ce pays[1]. Cet événement est
particulièrement grave. Il survient alors qu’est fraiche la mémoire du coup de
force réussi contre le gouvernement grec par la combinaison de pressions
politiques venant de l’Eurogroupe et de pressions économiques (et financières)
en provenance de la Banque Centrale Européenne. Il confirme la nature
profondément anti-démocratique non seulement de la zone Euro mais aussi, et on
doit le regretter, de l’Union européenne.
La suite ci-dessous :
« Un deuxième front portugais par François
Leclerc »
La droite portugaise n’en
revient toujours pas d’avoir perdu le pouvoir. Minoritaire au Parlement mais
pas en peine d’excès verbaux, elle va jusqu’à assimiler à une « fraude
électorale » la perspective d’un gouvernement socialiste soutenu par les
communistes et l’extrême-gauche, une fois tentée une reconduction de la
coalition de droite à l’instigation du président de la République qui n’ira pas
loin. Une telle réaction n’est pas sans rappeler, toutes proportions gardées,
la fuite vers le Brésil des grandes fortunes portugaises lors de la Révolution
du 25 avril 1974…
La suite ci-dessous :
Jean Vinatier
Seriatim2015
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire