Il
était évident que quoi que fasse ou quoi que dise Marine Le Pen, les furies
devaient se déchaîner : ce jour on lui reproche sa virulence comme on
aurait moqué son ton posé. Elle allait à la bataille en ayant contre elle tous les médias, toutes les
« élites » et in fine un public du cirque prêt à rallier le vainqueur. La
presse étrangère moins lâche a été bien plus nuancée plaçant les deux candidats
devant leur responsabilité.
Tout
ce que disait Mme Le Pen était aussitôt jugé, exploré et dès qu’une erreur
apparaissait aussitôt la sonnette d’alarme retentissait quand, évidemment le
verbe de Macron était épargné du moindre examen ou si peu : cet être
hypnotique qui n’en fulminait pas moins est vénéré, adoré, sa parole est d’or.
On est au-delà du pathétique !
On
nous bassine sur le fascisme censé surgir des entrailles de Mme Le Pen mais à
voir la charge continuelle médiatique soutenue par toutes les puissances
d’argent, il est clair que la tyrannie vient d’eux et quelle enflera dès le 7
mai au soir.
J’écris
et je parle d’autant plus librement n’étant pas Frontiste, je regarde et je
vois tout se défaire : des électeurs zombies et leur candidat inquiétant : la France est
vraiment devenue un asile.
Jean Vinatier
Seriatim 2017
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