Pas un klaxon, pas un cri de joie à l’annonce de la défaite de Marine
Le Pen, un public clairsemé au Louvre venu adorer leur nouvelle idole Macron.
Etrange France et non moins étranges français honteux d’avoir voté pour un
homme qu’ils n’aiment pas tout en voulant se donner bonne conscience d’éliminer
une supposée menace fasciste lepeniste. Bruxelles, Berlin, les oligarchies, les
clintoniens (Barack Obama) savourent ce grand moment d’euthanasie d’un peuple
autrefois appelé la grande nation. Fin de l’Histoire, de notre Histoire ?
L’hymne européen entonné pour l’arrivée d’Emmanuel Macron au Louvre, la
Marseillaise devant patienter : tout est annoncé, notre nation est
secondaire au nom d’une Union européenne toute soumise à l’Allemagne, le Reich
rampant, devenant le glacis de l’oligarchie désarçonnée par le Brexit et l’élection
de Donald Trump. L’Europe continentale concentre donc sur son sol des forces
hostiles et haineuses envers nous les indigènes qui y sommes depuis des siècles ;
elles espèrent depuis cette aire
géographique ramener le Royaume-Uni et les Etats-Unis dans le giron de la
mondialisation totalitaire, nous supplanter
par de plus en plus d’hommes étrangers sensés plus malléables et déracinés.
Emmanuel Macron n’est porteur d’aucun souffle de vie, il est le petit
postier des puissances qui nous maudissent et nous vomissent au plus haut
point. Un Jocrisse, un valet bouffon tragique.
A titre personnel, j’ai l’immense fierté de n’avoir pas voté pour ce
triste sire : je ne me suis pas avachi et puis me regarder dans la glace.
Jean Vinatier
Seriatim 2017
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