L’heureux habitant du château périgourdin de Montréal, l’ambassadeur
Montferrand publie aux éditions Tallandier, une biographie consacrée à Charles
Gravier, comte de Vergennes (1719-1787) qui fut le secrétaire d’Etat aux
affaires étrangères emblématique de Louis XVI de 1774 à 1787. L’auteur
n’ignorait pas la tâche délicate à proposer une étude sur la vie et les idées
d’un ministre d’Ancien régime à la veille de la Révolution de 1789. Les événements qui en découlèrent alors
jusqu’à ce qu’un général y mette un terme en se coiffant d’une couronne,
espérant entrer dans une légitimité que l’Europe monarchique ne lui accorda que
d’une façon circonstancielle, seront tels que tout ce qui précéda 1789 perdit de facto, consistance, force,
légitimité.
Paradoxalement, pour bien écrire sur le règne de Louis XVI, il
conviendrait « d’oublier » la
Révolution. Exercice difficile : tout d’abord parce que ses contrôleurs
généraux des finances échouèrent tous, citons les principaux : Turgot,
Necker, Calonne, Brienne ; ensuite, leurs échecs rendirent logiques les
trames des années suivantes ; enfin, le Roi, lui-même, ne dominant plus
les obstacles se défit de sa majesté : l’Etat cessait.
Intervient le cas du secrétaire d’Etat aux Affaires Etrangères, Charles
Gravier comte de Vergennes dont le ministériat se distinguât de tous ses
collègues précités: un, il mourut en fonction, deux, il redonna la
première place à la France dans le monde d’alors, trois, il fut soutenu en
permanence par son Roi, point capital.
La trame du livre de l’ambassadeur Montferrand a son originalité, s’appuyant,
notamment sur les travaux de Munro Price : il montre et étaie l’égalité
d’intérêt du ministre Vergennes autant pour les affaires intérieures que celles
extérieures. Une attention facilitée par le fait que le secrétaire d’Etat aux
Affaires Etrangères avait dans son département le gouvernement de provinces
nouvellement rattachées.
Vergennes le ministre accompli d’une France « faite » au sein
d’une Europe dont tous les Etats paraissaient avoir leurs limites légitimes à l’exception
de la Pologne partagée en 1772 par trois puissances, un acte qui servit de
thème à sa célèbre minute adressée à Louis XVI le 8 décembre 1774 dont le texte entier (ici en extraits) afficha
les maximes de sa politique «[…] Le mépris absolu des principes de justice
et de tolérance qui caractérise la conduite et les entreprises de quelques-unes
des puissances contemporaines, doit être un sujet puissant de réflexions
sérieuses et même de mesures de prévoyance pour ceux des Etats qui se dirigent
par des maximes plus saines, ne placent sur une même ligne le juste et
l’injuste.
La postérité aura peine à
croire ce que l’Europe indignée voit avec étonnement trois puissances
d’intérêts divers et opposés s’unir entre elles par un abus criant ; à la
raison du plus fort, dépouillée de ses plus riches domaines un Etat innocent, contre
lequel on n’a pas pu d’autre titré que celui de la faiblesse et de
l’impuissance où il est de résister à la cupidité de ceux qui l’envahissent.
Si la force est un
droit, si la convenance est un titre, quelle sera désormais la sûreté des
Etats ? Si une possession immémoriale, si les traités solennels qui ont
fixé les limites respectives ne servent de frein à l’ambition, comment se
garantir contre la surprise et l’invasion, si le brigandage politique se
perpétue, la paix ne sera bientôt plus qu’une carrière ouverte à l’infidélité
et à la trahison.
Il y a moins d’un siècle qu’on
a vu l’Europe se liguer et inonder la terre de sang pour venger l’accaparement
de quelques villages. L’Autriche, la Russie, la Prusse s’unissent pour démonter
un grand royaume et se partager ses provinces ; le reste de l’Europe le
voit, se tait et le tolère. L’Angleterre jamais si zélée et si ardente pour
maintenir l’équilibre de la balance du pouvoir, semble même pas remarquer cette
combinaison si propre à l’alarmer ; le cri de son intérêt le plus chéri ne
peut pas même la réveiller ; elle voit son commerce avec la Pologne soumis
au monopole du roi de Prusse et elle n’ose pas réclamer….
[….]
La considération et
l’influence de toute puissance se mesurent et se règlent sur l’opinion sentie
que l’on a de ses forces intrinsèques ; c’est donc établir cette opinion
dans le sens le plus avantageux que la prévoyance doit s’attacher.
On respecte toute nation qu’on
voit en mesure d’une vigoureuse résistance et qui, n’abusant point de la
supériorité de ses forces, ne veut que ce qui est juste et qui peut être utile
à tout le monde : la paix et la tranquillité générale.
Ici la politique s’arrête,
contente d’indiquer le but vers lequel il est (un) instant de tendre, elle ne
se permet pas de fixer exclusivement le choix des routes pour y arriver. Mais
une vérité qu’elle ne peut se dispenser de recommander quoique triviale, est
que plus une paix a duré, moins il y a d’apparence qu’elle durera ; la
paix subsiste depuis douze ans, c’est un grand préjugé contre sa stabilité
intérieure, ce n’est donc pas excéder les bornes d’une prévoyance légitime que
d »insister sur la nécessité de se tenir prêt à toute événement ;
d’ailleurs, on n’est jamais plus assuré de la paix lorsqu’on est en situation
de ne pas craindre la guerre ; l’opinion est, dit-on, la reine du monde.
Le gouvernement qui l’établira à son avantage double avec l’idée de ses forces
réelles la considération et le respect qui furent et seront toujours le salaire
d’une administration bien dirigée et le garant le plus certain de sa
tranquillité. »1
Cette minute posait son idée, politique et géopolitique française, sa
manière d’appréhender, notamment, la révolte des treize colonies du Canada
méridional, les Insurgents étant appelés sous sa plume les « Angleterriens »2. L’auteur, Montferrand, s’il traite la question américaine d’éclairante
manière en conduisant le lecteur dans les pas d’un Vergennes prudent et
apparemment passif, n’a pas développé suffisamment, selon moi, sur ce que
visionnait véritablement le ministre. Depuis trop longtemps, on a prétendu que
Vergennes et Louis XVI avaient appuyé les Insurgents sans se rendre compte de
ce qu’ils laissaient accomplir. Les sources sont nombreuses pour défaire cet
argument et, si l’on voulait bien étudier les fonds des archives des pays
d’Europe concernés par la question Américaine, nous aurions une masse d’écrits
qui établiraient que l’indépendance américaine , loin d’être regardée comme un
moment de mode « à la Belle Poule » était analysée par rapport à l’Europe
westphalienne : il était hors de question (on le verra plus bas :
« c’est une terreur contre laquelle on se prémunira ») qu’un Etat américain naquît indépendamment
de l’Europe.
Lors du centenaire du traité de Versailles, des sociétés savantes américaines
reprochèrent à Vergennes d’avoir projeté de limiter les ambitions étasuniennes.
Ainsi Francis Wharton dans un mémoire lu pour le 70e anniversaire de
la société historique de New York en 1883 précisait, ainsi :
« L’objet de cette revue des négociations pour la paix, grâce
à la lumière du complot (formé) par la France et l’Espagne pour la spoliation
de l’Amérique, a été de rappeler les faits historiques actuellement hors de
doute et de rendre justice aux commissaires américains, qui ont été traités
injustement par une défiguration de la vérité, plutôt que de discuter la
politique ou la loyauté du chef éminent du gouvernement, dont la conduite
pendant la guerre lui avait gagné le respect et la gratitude du peuple américain.
Pour beaucoup de gens, en dépit des preuves qui ont été accumulées pendant le
dernier demi-siècle, de l’exactitude des vues conçues par Jay et par Adams
touchant la politique de la France, la découverte grâce aux lettres de
Vergennes et de ses agents, de la conspiration secrète des deux grandes
puissances qui combattirent dans notre guerre de l’indépendance pour nous
priver de tous les fruits légitimes viendra comme une révélation. Tout ce qui
porte sur cette (découverte) sera examinée avec soin. On demandera à notre
gouvernement la publication de tous les documents recueillis ou à recueillir
dans les archives de l’Europe. Ceux qui étudient l’histoire ici ou à l’étranger
soumettront la correspondance à une analyse sévère et il se peut que Vergennes
trouve des apologistes et des défenseurs dans l’avenir comme dans le passé, et
cette fois sur le terrain que lui-même a choisi, savoir que jamais il n’avait
abandonné virtuellement l’indépendance des Etats-Unis dont il s’était porté
garant, quoique vivement poussé par l’Espagne, et que, comme il l’a répété avec
insistance, rien dans le traité d’alliance avec nous ne le forçait à
reconnaître ou à soutenir nos prétentions sur les pêcheries ou les limites.
Mais il reste de ce fait, qu’e cherchant à ruiner ces prétentions, il montra à
l’égard des Etats-Unis un manque de franchise et une finesse diplomatique qui,
s’ils avaient nos commissaires eux-mêmes au même point qu’ils trompèrent le
Congrès, ou au point où ils imposèrent à sa crédulité des historiens américains
eux-mêmes pendant le siècle passé, auraient entraîné une perte de dignité
nationale, de territoire, de puissance, et nous auraient réduits à une
condition pitoyable de faiblesse et d’humiliation. Les lettres de Vergennes et
de ses agents tout à la fois montrent leurs soucis constants de laisser les
Américains dans l’ignorance de leurs desseins réels et la conscience que leurs
relations seraient altérées si ces desseins étaient découverts, et qu’ils ne
seraient jamais pardonnés.
[….]
…..Lorsque Genet vint chez
nous comme ministre de la république française, il soumit à notre gouvernement
des documents officiels révélant les projets malveillants qui avaient été
conçus par Vergennes et Montmorin à l’égard des Etats-Unis, manifestant en
termes clairs le souci de la France et de l’Espagne pour exclure les Etats-Unis
du Mississipi, leur jalousie de puissance grandissante de notre pays, et le
désir de la France, exprimée pendant que la question était pendante, que la
constitution ne fut pas adoptée, parce qu’il convenait à la France que les
Etats-Unis restassent dans leur situation actuelle, attendu que, s’ils
acquéraient bientôt une force et une puissance dont ils seraient prêts à
abuser.
M.Charles Francis Adams,
parlant du jugement (porté) par John Adams à une date plus ancienne sur la
politique de Vergennes, et du fait que la cause de l’Amérique était partout
abandonnée à la politique continentale, remarquait que peut-être ses
impressions à certains moments l’avaient emporté trop loin et l’avaient amené à
soupçonner chez le comte (de Vergennes) un désir positif de tenir en bride et
d’abaisser l’Amérique. « En cela, remarque M. Charles-Francis Adams, il
tombait dans l’erreur naturelle (qui consiste) à exagérer l’importance de son
propre pays. Dans la grande partie des nations qui se jouait alors à Paris,
sous l’œil exercé du chef de la France, les Etats-Unis tenaient probablement
dans son esprit une place qui n’était pas relativement plus haute que celle
d’un pion ou probablement d’un chevalier sur un jeu d’échecs. »
Tout en admettant l’exactitude
partielle de ce jugement, nous ne pouvons pas oublier que les colonies de
différentes nationalités, depuis la Canada jusqu’au Golfe (du Mexique), avec
leurs rivalités et leurs querelles locales et leur participation forcée aux guerres
continuelles des puissances européennes auxquelles elles appartenaient
respectivement, avaient fait des limites, du caractère et des ressources de ces
colonies, un sujet d’intérêt constant pour les gouvernements des métropoles.
D’après la correspondance secrète actuellement mise à jour, aussi bien que
d’après nos propres archives, il semblerait évident que les hommes d’Etat les
plus capables de France et de l’Espagne, sinon d’autres pays, avaient étudié
l’avenir probable de l’Amérique avec une attention particulière et une
intelligence à longue portée. S’ils la regardaient comme un pion, c’était comme
un pion qui a moins d’être attentivement surveillé, n’était que trop certain de
devenir une reine.
[….]
Lorsque Vergennes disait qu’il
était loin de désirer que la République fût seule maîtresse de ce vaste
continent, il disait la vérité, et lorsque pour s’assurer l’aide de l’Espagne,
il consentait à acquiescer à ses projets pour restreindre le territoire et les
ressources qui nous donneraient la dignité nationale et la force nationale, et
pour nous entourer de puissances antagonistes unies pour empêcher notre
extension et nous soumettre à leur contrôle, il adoptait une conduite qui
n’était pas du tout en désaccord avec les intérêts domestiques, les pactes de
famille et le système de la balance des pouvoirs qui faisaient partie de la
politique de la France. »3
Une centaine d’années avant Francis Wharton, l’ambassadeur de Georges
III, Lord Stormont rédigeait (grâce au moyen mnémotechnique) pour son ministre,
Lord Rochford depuis Fontainebleau le 31 octobre 1775 une longue lettre, à bien
des égards, capitale sur le devenir des Etats-Unis compris par Vergennes :
« Ce qui vous arrive en Amérique n’est de la convenance de personne.
[…] Dans le fait sont très évidentes, aussi évidentes que celles que pour vous
a eues la cession entière du Canada. J’étais à Constantinople quand fut faite
la dernière paix. Quand j’ai connu les conditions, je dis à plusieurs de mes
amis que j’étais persuadé que l’Angleterre ne serait pas longtemps sans avoir
des raisons de se repentir d’avoir ôté la seule barrière qui put contenir ses
colonies dans l’obéissance. Ma prédiction n’a été que trop bien vérifiée.
Maintenant, je vois également les suites qu’auraient nécessairement
l’indépendance du Nord de l’Amérique si vos colonies emportaient ce point auquel,
aujourd’hui, elles tendent trop visiblement. Dans ce cas, elles s’occuperaient
immédiatement à se former une grande marine ; et comme elles possèdent
tous les avantages imaginables pour construire des vaisseaux, il ne se
passerait pas beaucoup de temps avant qu’elles eussent des flottes capables de
se mesurer avec toutes celles de l’Europe, quand même toutes les puissances
s’uniraient contre elles. Avec cette supériorité et tous les avantages de leur
situation, elles pourraient quand elles le voudraient s’emparer de vos Antilles
et des nôtres. Je suis persuadé que même elles ne voudraient pas s’en tenir à
cela mais que dans la suite des temps, elles avanceraient mûrement chez
elles ; en sorte que, finalement, elles ne laisseraient pas une lieue de
cet hémisphère dans la possession d’une puissance quelconque de l’Europe. Sans
doute toutes ses conséquences ne se produiront pas immédiatement. Ni vous, ni
moi ne vivrions assez pour les voir accomplies ; mais, pour être
éloignées, elles ne seraient pas moins certaines. Une politique étroite et à
vues courtes pourrait, sans doute, se réjouir des embarras d’un rival sans
regarder au-delà de l’heure présente ; mais celui qui regarde en avant et
qui pèse les conséquences doit considérer ce qui maintenant vous arrive en
Amérique comme un mal général, dont toutes les nations qui ont des
établissements en Amérique peuvent avoir leur ; c’est, je vous assure,
sous ce point de vue que j’ai toujours envisagé la question. »4
A ce tableau rapporté par le diplomate britannique, Vergennes, deux ans
plus tard, en 1777, en poursuivant ses réflexions, pressentait que le Nord et
le Sud des Treize colonies entreraient en conflit ouvert :
« […] Que par une
succession progressive de tems, elle puisse devenir assés considérable, c’est
ce dont ne disconviendra pas ; mais qu’elle puisse devenir formidable
c’est une terreur contre laquelle on se prémunira, si on fait attention à la
forme de constitution qu’elle s’est donnée et qui est exclusive de cette
coalition qui formant un grand ensemble peut prendre un essor rapide et se
rendre terrible à tout ce qui l’avoisinera. 13 provinces ont formé une
confédération en se réservant à chacune leur administration intérieure ;
il est donc à présumer qu’une fois qu’elles seront rendues à elles-mêmes et
qu’elles jouissent de leur tranquillité elles s’occuperont individuellement de
leur intérêt particulier sans un raport trop immédiat à celui de la masse
générale. Ors leurs intérêts ne sont pas plus uniformes que les climats sous
lesquels elles respirent. Le Sud et le Nord différent essentiellement ; le
premier faiblement peuplé, la culture y étant abandonné à des nègres ne pouvant
être régi par un esprit d’agrandissement et de conquête, le commerce doit être
son principe et sa force ; leurs colonies du Nord peuvent être dirigées
par des principes et des vues différentes ; un climat âpre, un sol pénible
à féconder, une population abondante effet de la frugalité et du travail tout
cela peut y porter l’esprit d’émigration et de conqueste ; muni de cet
esprit sans les moiens ne peut être qu’une inquiétude vaine ; d’ailleurs
le Canada restant au pouvoir de l’Angleterre, cette frontière seule suffiroit
pour occuper l’inquiétude des colonies septentrionales qui ne pourront jamais
être parfaitement tranquilles sur les vues de ce voisin. Il y auroit beaucoup à
délibérer, s’il conviendrait d’enlever cette possession aux Anglois ; mais
ce n’est pas ici le lieu de s’en occuper.
Une dernière considération est
qu’il se passera encore bien des années pour ne pas dire des siècles avant que les nouveaux Angleterriens aient mis en
valeur tous les terrains qui leur restent à défricher, et par conséquent qu’ils
aient une population surabondante dont ils devraient se décharger ; avant qu’ils en
soient à ce terme nos vices introduits
par une communication plus intime, en auront retardé les accroissemens et les
progrès. D’ailleurs, la politique doit s’arrêter où l’horizon la borne, elle
s’égare lorsqu’elle va au-delà. »5
Ces documents proposés à votre
lecture, ne viennent pas ôter tout l’intérêt à lire la biographie écrite par l’ambassadeur
Montferrand sur le comte de Vergennes, ministre d’un Roi géographe et
géopolitique qui lança de grandes expéditions navales dont celle de La Pérouse,
la France devant parcourir tout le Monde et que le Monde le sache : de l’Atlantique
au Pacifique, en passant par l’océan indien. Ainsi, par la mission de
Monseigneur Pigneau de Béhaine, Louis XVI posa-t-il les pierres fondatrices de
la future Cochinchine.
Si l’on veut bien, un instant, « oublier »
les tragédies des années 1790, et lire ainsi le travail de l’ambassadeur
Montferrand, on conviendra que la France a été toute proche d’étonner le monde :
il aura manqué la réforme politique intérieure. Vergennes aura été la gloire
incomplète de Louis XVI, le souverain seul en clef de voute devait sertir l’ensemble.
Montferrand (Bernard de) :
Vergennes ou la gloire de Louis XVI, Paris, Taillandier, 2017
Jean Vinatier
Seriatim 2017
Sources :
1-Archives Nationales : K164 : Travail du Roi, N°1 Année 1774.
AMAE : MD
France 584
2-AMAE : MD Espagne 586
f°85: Mémoire de Vergennes communiqué au
Roi le 23 juillet 1777.
3-in « Les négociations pour la paix de 1782/1783. Mémoire lu
pour le 70e anniversaire de la Société historique de New-York (1883) »-Papier
150 et 16 feuillet oblongs. Don Henri Doniol-Bibliothèque de l’Institut pp.106,
110, 130
4-Bancroft (Georges) : Histoire de l’action commune de la France et
de l’Amérique pour l’indépendance des Etats-Unis, 12 volumes. Traduction
par le comte Adolphe de Circourt des volumes 10, 11, 12, F.Vieweg (éd.), Paris, 1876, pp.1-6
5-AMAE : MD Espagne 586 op.cité (Orthographe originale)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire