Macron et Hidalgo unis via une loi d’exception, pour salir Paris pendant
7 ans au nom des Jeux Olympiques dont les Parisiens ne veulent pas
« Les Jeux Olympiques ne vont pas seulement occasionner des dépenses
inconsidérées qui se répercuteront sur les budgets du patrimoine et des musées
(notamment à Paris). Ils sont aussi l’occasion pour le gouvernement de voter
une véritable loi d’exception qui va mettre à mal pendant plus de sept ans les
codes de l’urbanisme et de l’environnement. Le projet
de loi relatif à l’organisation des jeux Olympiques et Paralympique 2024,
qui sera voté par le parlement en procédure accélérée, constitue un réel déni
de démocratie.
Cela commence très fort, avec la privatisation de termes pourtant passés
depuis toujours dans le langage courant : « olympique »,
« olympisme », « olympien », « olympienne »,
« JO » et toute expression « ville + année ».
Certains prétendent que ceci relève du code du sport, ce qui en limiterait la
portée. Or, celui-ci est très clair : « Le fait de déposer à titre
de marque, de reproduire, d’imiter, d’apposer, de supprimer ou de modifier les
emblèmes, devise, hymne, symbole et termes mentionnés au premier alinéa, sans
l’autorisation du Comité national olympique et sportif français, est puni des
peines prévues aux articles L. 716-9 et suivants du code de la propriété
intellectuelle. » L’utilisation de ces termes est donc protégée
quelque soit leur usage. Certains n’ont pas manqué de faire remarquer avec
malice que le JO (Journal Officiel) allait donc publier un texte qui
consacrerait l’illégalité de son appellation ! »
La suite ci-dessus :
Jean Vinatier
Seriatim 2017
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire