A l’inverse de la dynastie Rothschild, la famille Leven est méconnue du
grand public français, pourtant, depuis plus d’un siècle, elle a mené et mène
encore une action philanthropique majeure en faveur d’Israël à destination des
Israéliens indépendamment des confessions et des origines.
Je connus le nom de Gustave Leven via Claude Broll qui m’en parla
beaucoup.
Ci-dessous l’article de Abigail Klein
Leichman édité en 2015 du Jerusalem Post qui fait un
historique complet sur cette fondation :
« Gustave Leven, un nom qui ne vous dit certainement pas
grand-chose. Et c’est exactement ce que ce philanthrope juif voulait. S’il a su
faire de Perrier une marque incontournable, il a tenu à garder discrètes ses
œuvres caritatives. Mort en 2008 à 94 ans, Leven a déboursé des millions de
dollars pour mettre en place des programmes éducatifs et sociaux, devenus
aujourd’hui financièrement autonomes, dans des communautés de la périphérie
israélienne, via la Fondation Rashi.
Cent ans après la naissance de Gustave Leven et trente ans après les débuts de la Fondation, le neveu du fondateur et actuel président de l’institution, Hubert Leven, a décidé de lever le voile sur les origines de cette structure dont son oncle lui a confié la gérance. Non pas pour faire briller le nom de la famille, mais pour tenter de séduire des partenaires stratégiques.
« Jusqu’à présent, nous entretenions le mystère, mais aucun philanthrope ne veut investir dans une institution que personne ne connaît », a ainsi expliqué Leven le mois dernier, à l’occasion d’un rassemblement du réseau international des donateurs juifs. »
Cent ans après la naissance de Gustave Leven et trente ans après les débuts de la Fondation, le neveu du fondateur et actuel président de l’institution, Hubert Leven, a décidé de lever le voile sur les origines de cette structure dont son oncle lui a confié la gérance. Non pas pour faire briller le nom de la famille, mais pour tenter de séduire des partenaires stratégiques.
« Jusqu’à présent, nous entretenions le mystère, mais aucun philanthrope ne veut investir dans une institution que personne ne connaît », a ainsi expliqué Leven le mois dernier, à l’occasion d’un rassemblement du réseau international des donateurs juifs. »
La suite ci-dessous :
Jean Vinatier
Seriatim 2019
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