Josep Borell (Politique étrangère) et Dominique
Strauss-Kahn (Politique internationale) publient presque de façon simultanée
deux articles dessinant un panorama COVID-19.
Les deux auteurs aux idées communs rappellent aux
lecteurs avec des tons différents que le globalisme ou mondialisme ne quittera
pas sa route principale, en conséquence de quoi, les outils ne seront pas
remisés mais observateurs des défauts des cuirasses des gouvernements nationaux
et européens, il conviendrait de lever le pied, de proposer, aussi, des
éléments de langage de nature à rassurer les populations par exemple
éviter globalisation pour régionalisation.
Plus que jamais nous nous plaçons dans une période d’intermittence, le calme et son contraire se confondent.
Dominique Strauss-Kahn a une approche plus habile,
plus travaillée aussi : on sent bien que l’ancien directeur du FMI fait
avec cette publication un galop d’essai pour 2022 et tente une ligne
social-globalisme/mondialisme, perturber qui sait, une candidature de Christine
Lagarde….
Ci-dessous :
Josep
Borell : Covid-19 : le monde d’après est déjà là
Dominique Strauss-Kahn : L’être, l’avoir et le pouvoir dans la
crise
Jean Vinatier
Seriatim 2020
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